lundi 17 décembre 2007
mardi 11 décembre 2007
Le plus gouleyant
Un jour mon verre viendra
Plus seul que dans une oubliette ou une prison
Comme gardée par un dragon aux cris enflammés
Je guette sans conviction
Le rouge qui voudra bien m'aimer.
Puis tu m'es apparu,
Chevalier Barique, du comté du bonheur,
Ta belle robe visage tendu,
Emplit ma nuit glacée d'un peu de chaleur.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Tes cheveux rouge seront ta bannière,
Tes yeux Bordeaux, ton regard d'apparat,
Viendront aux griffes du mal cette soif soustraire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 100 000 chateaux,
Et rendre à mon verre le ciel de mes jours,
Transperçant de ta lance ce trop sombre brouillard?
Plus seul que dans une oubliette ou une prison
Comme gardée par un dragon aux cris enflammés
Je guette sans conviction
Le rouge qui voudra bien m'aimer.
Puis tu m'es apparu,
Chevalier Barique, du comté du bonheur,
Ta belle robe visage tendu,
Emplit ma nuit glacée d'un peu de chaleur.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Tes cheveux rouge seront ta bannière,
Tes yeux Bordeaux, ton regard d'apparat,
Viendront aux griffes du mal cette soif soustraire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 100 000 chateaux,
Et rendre à mon verre le ciel de mes jours,
Transperçant de ta lance ce trop sombre brouillard?
Hic...2007
Avec modération, pardine!
Avec modération, pardine!
dimanche 9 décembre 2007
mardi 4 décembre 2007
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